La résilience, une capacité à surmonter les épreuves
Au cours de notre existence, nous allons rencontrer des crises…Petites ou grandes. Comme des deuils, des ruptures. Cela peut être la perte d’un être important, la perte d’un emploi, d’une situation…Et, de bien d’autres choses encore.
Evoqué d’abord dans les années 1940 par des psychologues scolaires américains, puis en France au début des années 1980 par John Bowlby (pédiatre et psychanalyste), le concept de résilience fut popularisé par Boris Cyrulnik, éthologue, neuropsychiatre et psychanalyste.
A travers différents livres, Boris Cyrulnik présente cette crise comme un vecteur d’espoir. Pour lui, la crise est un symptome, un appel à la transformation, à faire autrement, à prendre un autre chemin, à faire un choix différent.
Vous avez dit « crise » ?
Le terme crise dans son éthymologie signifie « décider », « faire un choix ».
La crise nous invite donc à prendre un nouvel élan en réalisant un beau voyage à l’intérieur de nous-même pour apprendre à mieux nous connaître et à prendre soin de nous. Cela peut aussi être l’occasion de poser un acte différent.
La résilience, ça s’apprend et ça se cultive
La résilience est donc la capacité de survivre et prospérer dans la vie avec un état d’esprit positif.
Ann Masten, de l’Université du Minnesota, a défini la résilience comme une magie ordinaire.
Cette capacité de résilier n’est pas transmise par la génétique.
La résilience s’acquiert et se cultive.
Pour cela, il est nécessaire d’installer de nouvelles routines dans sa vie. Et ce sont les entraînements et les répétitions de ces nouvelles façons de fonctionner qui vont peu à peu s’intégrer en nous et faire que notre capacité de résilience va augmenter. Bien sûr, cela nécessaite d’activer deux autres qualités qui sont : la patience et la persévérance.
Etre résilient signifie qu’une personne est capable de continuer à vivre sans se sentir débordée, malgré la douleur et les circonstances négatives de la vie.
Une personne résiliente peut parfois tout perdre dans la vie mais elle ne se perd pas.
Métaphore
Pour parler de la résilience, j’aime utiliser cette image qui m’a été donnée en supervision : imaginez une petite plante dans une cave. Il n’y a qu’un fin filet de lumière qui filtre dans celle-ci…
La résilience, c’est cette petite plante qui est attirée par la lumière, elle se connecte à elle. Et, malgré les conditions difficiles, elle va continuer de se tourner vers cette lumière. Elle va pousser. Elle pousse !
Rayonner
la confiance en soi et en nos ressources intérieures ainsi qu’une attitude positive sont deux choses qui nous permettent d’être résilients et d’ensuite rayonner notre belle lumière intérieure à l’extérieur de nous.
Pratiquement
Vous avez vous aussi envie de J’ai le palisir de vous proposer un atelier « Etat coach ».
Avec cet atelier, vivez une expérience intense et repartez avec des outils concrets.
L’état coach, c’est prendre un moment pour soi pour :
C = Centrer, pour développer sa capacité de présence.
O = Ouverture, ouvrir, donner et recevoir ; s’ouvrir au champ des possibles.
A = Attention, capacité à développer ses 5 sens et notre 6ème sens, l’intuition.
C = Connexion, corps et esprit intérieur.
H = Hospitalité, être dans l’accueil.
Pendant cet atelier, vous boosterez la confiance en vous, en pleine conscience.
> Vous développerez votre créativité et votre intelligence émotionnelle. .
> En somme, ce sont toutes ces qualités personnelles qui transforment une personne et l’amènent à un niveau supérieur.
> Vous échangerez, partagerez et découvrirez.
Ceux qui se retrouvent souvent au contact de leurs limites le savent bien : sportifs de haut niveau, militaires en opération, pompiers en intervention… Parmi les exemples les plus frappants, on compte le judoka Teddy Riner, dont la suprématie s’est encore confirmée récemment aux Mondiaux de Budapest avec son neuvième titre de champion du monde, et qui ne cache pas le rôle qu’a eu son travail avec sa psychologue dans sa longévité sur le tatami. Pareil aussi pour le néerlandais Wim Hof, qui a appris à contrôler son corps et par l’esprit pour endurer des températures extrêmes et même contrôler son système immunitaire. Ce ne sont pas les plus techniques où les plus costaux qui réussissent, ce sont ceux qui sont forts mentalement. Ceux qui pratiquent quotidiennement ce centrage.
L’état C.O.A.C.H est fondamental.
Prendre soin de soi pour mieux prendre soin des autres, ensuite.
Le 12 janvier 2019, de 10h00 à 12h30
Ou de 14h00 à 16h30
A l’Espace Harmonie de Waremme, avenue Guillaume Joachim, 24.
La participation aux frais est de 50 euros, carnet de notes et audio avec des rituels de sophrologie inclus.
Cet atelier d’exception est réservé à 10 personnes.
Pour vous inscrire : Françoise Singer, Gsm : 0479/31.48.13
Cet atelier peut être organisé à d’autres endroits.
Contactez-moi afin d’étudier la faisabilité de le mettre en place 🙂
A bientôt,