Je vais vous partager une expérience culinaire.

A base de chocolat 😉

Riche d’enseignement.

 

Voilà,voilà …

J’étais en train de préparer deux gâteaux en même temps.

 

La cuisine sentait bon le chocolat.

Je mélangeais délicatement la pâte pour qu’elle devienne crémeuse et mousseuse à souhait.

Un moment de pleine conscience.

J’étais là, tous les sens en éveil.

Toute à mes gâteaux.

Je ne pensais à rien d’autre.

Le temps était comme suspendu.

J’étais juste là.

 

C’était bon et doux, comme ce chocolat.

 

Et puis vint le moment de verser la pâte dans le moule.

Je n’avais qu’un seul moule à gâteau rond.

Du coup, j’ai pris un moule à cake.

Il était plus haut que l’autre.

 

Détail qui peut paraître insignifiant…

Attendez plutôt la suite 😉

Vous savez : pas de raccourci 🙂

 

Respirez profondément et …Lisez la suite.

(Je rigole.)

 

J’ai fait cuire les deux gâteaux pendant le même temps, à la même température.

 

Mais le résultat a été complètement différent dans les deux cas.

 

Jusqu’à présent, j’en préparais un à la fois.

Et, j’utilisais le moule rond.

A chque fois, le même.

 

Là, il y avait plus de monde pour la dégustation et du coup, j’en ai fait deux en même temps.

Ceci explique cela…

 

Le résultat du second !!!

Mes amies, mes amis : une TUERIE, comme on dit par ici 😉

 

Ce n’était plus un bon gâteau au chocolat.

 

Cela était un MERVEILLEUX gâteau au chocolat.

WOW !

 

Comme quoi, les événements qui nous arrivent nous pouvons les voir sous la loupe de la chance ou de la malchance.

 

Bien sûr, c’est plus facile lorsqu’il s’agit d’un fait anodin comme celui-ci.

 

Souvent, il suffit de changer une petite chose, de faire un petit pas pour obtenir des résultats très différents.

N’est-ce pas ?

Qu’en pensez-vous ?

 

D’ailleurs, Aristote écrivait déjà : « Nous sommes ce que nous répétons sans cesse. »

 

Si nous souhaitons autre chose, changeons un petit quelque chose 😉

Osons sortir du cadre !

 

Car tant que nous restons dans le même état d’esprit, rien ne changera pour nous.

 

 

Entraînons-nous avec des situations simples d’abord.

A notre rythme, à notre aise 🙂

Sans forcer.

En tirant les enseignements de nos expériences.

 

Le bonheur est à notre porte…

Il suffit d’accepter de l’ouvrir.

 

Sur ce, je vous fais un gros gros bisou chocolaté !

A très vite,